Sur le parking du pré de Madame Carle, j'ai rendez vous avec Martine et Christiane pour monter au refuge des Écrins. Il fait très chaud et la montée est longue, très très longue... Décidément, Christiane est abonnée aux montées en refuge interminables...: ce printemps nous avions effectivement prévu d'aller au refuge Adèle Planchard en ski.Mais bon, nous blablatons et ça passe plutôt bien. Le lendemain, les deux copines et moi envisageons la traversée Est-Ouest de la Barre des Écrins.
Mardi 6 Juillet
Il fait grand beau. Doucement mais sûrement, nous nous dirigeons vers la rimaye de la Barre. Une fois franchie, une pente de neige nous amène au pied du rognon rocheux, passage clé de la voie. Un dièdre raide et malcommode, aux prises verticales nous fait transpirer à grosses gouttes. Je suis très heureux de mousquetonner les trois pitons rencontrés et de trouver un bon relais pour assurer Martine et Christiane... elles aussi d'ailleurs! Et après, nous voilà en route vers le sommet sur le fil de l'arête.Le temps d'une photo à côté de la croix et nous nous lançons dans la descente. Ça commence à faire long et il faut toujours autant s'appliquer. Arrivés à la brèche Laury, nous sommes satisfaits de poser le pied sur quelque chose de stable!
Et ensuite, c'est l'interminable descente du glacier Blanc... Il fait chaud, le moral diminue mais finalement nous arrivons à la moraine du glacier, puis au refuge homonyme et enfin au pré de Madame Carle.
On est crevé mais bien content tout de même.
Mardi 6 Juillet
Il fait grand beau. Doucement mais sûrement, nous nous dirigeons vers la rimaye de la Barre. Une fois franchie, une pente de neige nous amène au pied du rognon rocheux, passage clé de la voie. Un dièdre raide et malcommode, aux prises verticales nous fait transpirer à grosses gouttes. Je suis très heureux de mousquetonner les trois pitons rencontrés et de trouver un bon relais pour assurer Martine et Christiane... elles aussi d'ailleurs! Et après, nous voilà en route vers le sommet sur le fil de l'arête.Le temps d'une photo à côté de la croix et nous nous lançons dans la descente. Ça commence à faire long et il faut toujours autant s'appliquer. Arrivés à la brèche Laury, nous sommes satisfaits de poser le pied sur quelque chose de stable!
Et ensuite, c'est l'interminable descente du glacier Blanc... Il fait chaud, le moral diminue mais finalement nous arrivons à la moraine du glacier, puis au refuge homonyme et enfin au pré de Madame Carle.
On est crevé mais bien content tout de même.
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